*26/05/17*
Les mesures du Président de la République pour la prévention
Lorsque ses équipes de campagne ont répondu à nos sollicitations destinées à connaître son plan de lutte contre l’insécurité routière, Emmanuel Macron était l’un des onze candidats à l’élection présidentielle.
Aujourd’hui, élu à la Présidence de la République, nous rassemblons l’ensemble des propositions qu’il nous a adressées.
Considérant la poursuite des progrès en matière de sécurité routière comme un impératif, le Président de la République a indiqué souhaiter :
- favoriser la conception d’automobiles toujours plus sûres ;
- soutenir les industriels dans leurs travaux de recherche et développement ;
- adapter la réglementation aux évolutions technologiques, notamment en ce qui concerne les véhicules autonomes ;
- poursuivre les efforts pour améliorer l’infrastructure, organiser des campagnes de sensibilisation et optimiser la formation au permis de conduire ;
- renforcer le caractère interministériel de la politique de sécurité routière ;
- engager des actions en faveur des usagers vulnérables ;
- continuer à déployer de nouveaux radars avec de nouvelles fonctionnalités.
Emmanuel Macron, conscient de l’importance des enjeux de sécurité et de santé publique, s’est aussi prononcé sur les mesures que nous défendons et que nous avions soumises à son appréciation. Il entend ainsi :
- anticiper les nouveaux risques routiers liés à l’arrivée des voitures autonomes et ouvrir le débat sur le sujet ;
- encourager le droit à la déconnexion des salariés lors de leurs trajets professionnels, avec des chartes dans les entreprises ;
- approfondir la réflexion sur la généralisation de l’éthylotest anti-démarrage dans les véhicules.
Enfin, nous nous félicitons de savoir notre association reconnue comme l’un des acteurs essentiels de la politique de prévention routière et du débat sur la voiture autonome. Article publié le 23 mai 2017
*170515*bis Article R413-17
I. – Les vitesses maximales autorisées par les dispositions du présent code, ainsi que celles plus réduites éventuellement prescrites par les autorités investies du pouvoir de police de la circulation, ne s’entendent que dans des conditions optimales de circulation : bonnes conditions atmosphériques, trafic fluide, véhicule en bon état.
II. – Elles ne dispensent en aucun cas le conducteur de rester constamment maître de sa vitesse et de régler cette dernière en fonction de l’état de la chaussée, des difficultés de la circulation et des obstacles prévisibles.
III. – Sa vitesse doit être réduite :
1° Lors du croisement ou du dépassement de piétons ou de cyclistes isolés ou en groupe ;
2° Lors du dépassement de convois à l’arrêt ;
3° Lors du croisement ou du dépassement de véhicules de transport en commun ou de véhicules affectés au transport d’enfants et faisant l’objet d’une signalisation spéciale, au moment de la descente et de la montée des voyageurs ;
4° Dans tous les cas où la route ne lui apparaît pas entièrement dégagée, ou risque d’être glissante ;
5° Lorsque les conditions de visibilité sont insuffisantes (temps de pluie et autres précipitations, brouillard…) ;
6° Dans les virages ;
7° Dans les descentes rapides ;
8° Dans les sections de routes étroites ou encombrées ou bordées d’habitations ;
9° A l’approche des sommets de côtes et des intersections où la visibilité n’est pas assurée ;
10° Lorsqu’il fait usage de dispositifs spéciaux d’éclairage et en particulier de ses feux de croisement ;
11° Lors du croisement ou du dépassement d’animaux.
IV. – Le fait, pour tout conducteur, de ne pas rester maître de sa vitesse ou de ne pas la réduire dans les cas prévus au présent article est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la quatrième classe.
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Tout dépend du niveau où on place le curseur…
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Si j’additionne les % dans les cases j’arrive à … 121 % !!!
Belle marge d’erreur. C’est probablement un assistant qui n’a pas contrôlé avant divulgation des chiffres.
Quelques réflexions sur les causes d’accident:
Alcool et Vitesse => plus de la moitié des accidents MORTELS en France depuis …. que les pouvoirs publics analysent l’accidentologie routière.
Seul le classement varie en fonction des années.
ALCOOL: La réglementation existe. Les contrôles aussi.
Depuis quelques années la part STUPÉFIANTS augmente.
Pas de quartier pour les contrevenants !!! Application de la LOI.
VITESSE: vaste sujet polémique.
En agglomération:
» 50 km/h est la vitesse maximale en agglomération depuis le 1er décembre 1990. En 1990 cette limite a été établie en fonction des limites physiologiques humaines (perception visuelle, temps de réaction incompressible d’au moins une seconde, résistance aux chocs, etc.) et de lois physiques fondées sur le rapport distance/ vitesse/ temps, pour remplacer l’ancienne limitation de 60km/h. 50 km/h est une limitation qui a alors pour objectif de réduire les risques encourus par les piétons notamment43.
À 50 km/h sur chaussée sèche, la distance d’arrêt, c’est-à-dire la distance parcourue pendant le temps de réaction et la distance de freinage, est de 28 mètres ; elle atteint 36 mètres pour une vitesse de 60 km/h, soit 8 mètres de plus pour s’arrêter. Autrement dit, un automobiliste qui roule à la vitesse autorisée de 50 km/h parcourt 28 mètres avant de s’arrêter ; celui qui dépasse les limitations de vitesse en roulant à 60 km/h percute un obstacle à une vitesse de près de 40 km/h (la distance d’arrêt est double lorsque la chaussée est humide)43. Cette distance supérieure de 8 mètres peut tuer en agglomération. 50 km/h est donc la vitesse maximum adaptée pour garantir la sécurité des usagers et faire face aux dangers de la circulation en agglomération43.
C’est aussi la vitesse maximale autorisée sur tout type de routes (y compris les autoroutes) en cas de visibilité inférieure à 50
mètres. ( source: wikipedia) »
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Tout dépend du niveau où on place le curseur…